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Jeudi 23 janvier 2025 - 18:30
Musicien, mais également grand collectionneur de vinyles, Mats Gustafsson nous donnera rendez-vous à la boutique pour une séance d’écoute commentée dans le cadre du festival Sons d’hiver…
Comme à l’accoutumée des séances d’écoute, la rencontre sera animée par Alexandre Pierrepont (anthropologue).
(Partenariat avec le festival Sons d’hiver)
Mats Olof Gustafsson est un saxophoniste de free jazz / musiques improvisées suédois, né en 1964 à Umeå, Suède. Il joue également de la clarinette et du Fender Rhodes. L’une de ses pr
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Commentaires
- Commentaire de titins (2012-09-20)
michel titin-schnaider - objet
Poursuivant mon exploration du « monde des sons » voici une aventure utilisant piano et violoncelle. Point de mélodie ni de virtuosité ici, mais une utilisation, je l’espère très personnelle, des ces deux magnifiques instruments.
En dehors de toute pratique ou technique musicale, l’instrument est ici considéré comme « objet sonore ».
Homophonie pour piano et synthétiseur:
Une simple note de piano répétée inlassablement toutes les 15secondes. Quelle beauté . Je pense à G. Scelsi, qui écoutait des journées entières la même note de piano… Mais peu à peu les subtiles composantes se dégradent, laissant place à de monstrueuses combinaisons sonores…
Improvisation au double archet / double bow improvisation
Le double archet permet d’associer/opposer dans un même jeu filé des sonorités conventionnelles et des sonorités plus grinçantes obtenues par le jeu sur les tendeurs.
Cosmogonie pour 16 pistes de violoncelle (cosmogony)
Cette composition electro-acoustique résulte du mixage sur 16 pistes de différents enregistrements exploitant des techniques de jeux variées : plus ou moins frottées, grinçants (jeux sur sillet, tranche, touche), dos d’archet…Telle une cosmogonie, une certaine harmonie émerge lentement du chaos originel. Des « accidents » ou catastrophes surviennent. Enfin cette harmonie évolue irrémédiablement vers le désordre et l’anéantissement.
Ambitus: Flux pour piano virtuel/Piano stream
L’écoute de certaines œuvres de musique sérielle (telles que « Sur incises » de P. Boulez) m’a donné l’idée de composer non pas à base de notes mais de « flux de notes », très rapides. La mélodie est donc ici totalement absente (jeu aléatoire). Seuls l’ambitus (l’écart type) et l’intensité sont contrôlés.
London 1858
Petit essai electro-acoustique utilisant mon piano Wallis fabriqué à Londres en 1858.
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